Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Loge de Recherche Laurence Dermott

Rechercher dans la Fraternité et la Tolérance.

L'Alchimie des énergies

Publié le 4 Janvier 2013 par Robert MINGAM in Planches

 

Vénérable Maître en Chaire, Vénérables maîtres qui décorez l’Orient, et vous tous mes Sœurs et mes Frères en vos Degrés et Qualités.

La planche que je vous présente ce soir s’intitule « L’ALCHIMIE DES ENERGIES ». Peut être aurai-je du y ajouter en sous titre, « en Loge d’Apprenti », puisqu’ il n’y sera question que de symboles pouvant être développés au Premier degré.

Parler de l’Alchimie des Energies, c’est avant tout en définir les effets pour en rechercher les causes, car celle-ci n’est pas qu’une science consistant à transformer de « vils » métaux en or. Elle est aussi un Art, celui de la transformation spirituelle, voir de la transmutation, d’un état vers un autre état. L’initiation maçonnique serait alors, elle aussi, une œuvre alchimique, puisqu’elle permet au Néophyte de pleinement se réaliser, en s’identifiant à l’œuvre qu’il accomplit. « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon église » disait Jésus à son disciple Simon. Moins dogmatique, la franc-maçonnerie propose au nouvel Initié, de s’identifier à la Pierre Brute, symbole à partir duquel il travaillera au progrès de l’humanité.

L’Alchimie est partout présente en maçonnerie : A commencer dans le Cabinet de Réflexion où le profane découvre sans toujours en connaître le sens, les trois principes hermétiques que sont le sel, le souffre et le mercure. Mais l’Alchimie des énergies quant à elle, va encore bien plus loin car bien qu’impalpable, celle-ci transforme en profondeur toutes les choses et tous les êtres qu’ils soient minéraux, végétaux où animaux.

Cette énergie à laquelle nous nous référons en Loge et dont nous parlons si peu, est à la source même de notre spiritualité de Francs-maçons. Certes nous faisons l’apologie spéculative de la lumière sous toutes ses formes, qu’elle soit visible ou spirituelle, mais elle se limite trop souvent à quelques phrases tirées de nos rituels. Seul un petit nombre de symboles attestent de sa présence comme le soleil, la Lune ou le Delta Lumineux.  

Quelques autres encore éclairent faiblement l’Autel des Serments, le plateau des trois principaux officiants, et les colonnettes qui ceinturent sur trois côtés le Tapis de Loge. Mais ce ne sont pas seulement ces lumières plus suggérées qu’efficientes qui régénèrent nos énergies positives. C’est un agglomérat savamment orchestré d’énergies multiples créé par des mots, des gestes des déplacements et de nombreux autres symboles qui contribuent à produire des émotions susceptibles de réaliser un égrégore métaphysique.

Si les deux sources énergétiques symbolisées par les astres solaire et lunaire éclairent la Loge de leurs bienfaits, c’est surtout celle résultant du frottement entre le cœur magmatique et la croute densifiée de notre planète conjuguée aux deux premières qui engendre la vie. C’est l’opposition, voir la complémentarité des énergies cosmique (2) et tellurique (3) qui créé le mouvement vibratoire nécessaire à toute activité, voir à toute émotion. Manifestation du divin pour les uns, ou phénomène scientifiquement inexpliqué pour les autres, ces énergies sont nécessaires à toute forme de vie. On sait, par exemple, qu’avant de mourir, un homme pourrait rester deux mois sans se nourrir, dix à quinze jours sans boire et quelques minutes sans respirer, mais qu’à la seconde même où il perd son énergie, celui-ci perd la vie. C’est cette énergie qui, dans notre corps physique, a la même fonction, la même activité que dans la nature ou dans l’univers.

Le Soleil, premier symbole manifesté de cette énergie qui bombarde notre planète et qui, après transformation dans les couches stratosphériques, crée des conditions de vie, nous rappelle que la lumière que nous percevons pourrait s’affirmer comme l’ineffable présence d’un principe que d’ancienne civilisation avait qualifié de noms divers, que les religions nomment Dieu et que les Maçons du rite Ecossais Ancien Accepté ont, depuis le Manifeste du Convent de Lausanne de 1875, la sagesse d’invoquer sous l’appellation de Grand Architecte de l’Univers.

Aucune initiation véritable n’a jamais réellement adoré l’astre solaire, mais la partie exotérique de presque toutes les religions fait référence à sa lumière à cause de ses pouvoirs créateurs et bénéfiques.

Même si nous pouvons expliquer et reproduire artificiellement les principes naturels de la propagation des ondes magnétiques, il nous est impossible de déterminer l’essence même de cette énergie qui nous baigne et nous anime.

Sans énergie, la lumière qui éclaire les formes, les reliefs, les couleurs et les distances n’existeraient pas. Aussi, parce que l’énergie engendre la lumière, la chaleur et la vie, celle-ci est initiatrice des sciences, des religions et des arts. Elle est un outil de création.

Nos cinq sens en sont la conséquence puisque la fonction créant l’organe, sa lumière a créé nos yeux et sa chaleur a travaillé notre corps pour créer les organes de la sensation. C’est peut être pourquoi dans certains rituels d’origine compagnonnique les différents voyages en font état.

Cette énergie que l’on pourrait qualifier de verticale, engendre des phénomènes magnétiques dès qu’elle rencontre de la matière. On parle alors d’Ondes de forme qui peuvent avoir une incidence positive ou négative sur l’environnement, qu’il soit minéral, végétal, animal. Les civilisations qui nous ont précédées attestent d’une connaissance intuitive très précise de ces phénomènes radiesthésiques (1), notamment dans l’implantation de leurs sites mégalithiques et de leur architecture sacrée. Ce n’est certainement pas par pure coïncidence que la plupart des sites réputés pour être de hauts lieux de spiritualité, se retrouvent à l’emplacement même des lieux de culte païen d’autrefois, eux mêmes implantés sur des anomalies géologiques mesurables à la surface du sol.

Aussi, que l’on observe les pierres levées de Carnac, les Grandes Pyramides égyptiennes, ou les Cathédrales Gothiques du Moyen-âge, toutes témoignent d’un savoir transcendant.

En observant le ciel, et en analysant l’influence du rayonnement solaire sur leur cadre de vie, nos aînés ont pu élaborer des hypothèses et des techniques afin de l’utiliser et d’en manipuler les effets. Les puissants s’en sont bien sûr emparés pour en faire un outil de pouvoir spirituel et d’asservissement temporel en l’amalgamant aux superstitions profanes. Cependant, c’est aussi par le ressenti des phénomènes magnétiques que différentes sciences ou pseudo-sciences ont vu le jour. Car leurs applications sur la nature et sur l’humain sont multiples, diverses et variées.  

Que ce soit intuitivement ou scientifiquement, l’homme a toujours su s’identifier à la nature et à ses lois. Peut être qu’autrefois, ne disposait-il que d’outils archaïques et rudimentaires, mais ce sont ces outils, tels que la baguette de coudrier ou le pendule du sourcier qui depuis des millénaires, et par convention mentale, permettaient de chercher de l’eau, là où elle ne semblait pas se trouver.

Aujourd’hui, la géobiologie, cette science réputée nouvelle mais vieille de plusieurs millénaires, nous permet, grâce aux moyens techniques de notre époque, d’émettre des théories plutôt que des hypothèses sur la nécessité d’harmoniser toutes choses avec la nature. A présent, ce n’est plus par convention mentale mais par une approche scientifique que les archéologues mesurent l’intensité vibratoire des lieux qu’ils observent. L’homme antenne d’autrefois, a laissé la place aux antennes électroniques. Le pendule et autres matériaux obsolètes ne pouvant garantir l’absence de toutes interprétations sensorielles, ce sont des appareils ultra sensibles bardés de capteurs et reliés avec des ordinateurs, qui sont utilisés par nos scientifiques (compteur Geiger etc…) et nous permettent désormais de mesurer ces vibrations qui créent ou qui affectent notre vie, et d’en tirer des enseignements tant médicaux que thérapeutiques.

Depuis le 19e siècle de nombreux savants se sont intéressés aux phénomènes magnétiques. Les travaux du médecin allemand Ernst HARTMANN de l’Université de Heidelberg, qui nous ont permis de constater que depuis la nuit des temps, les bâtisseurs connaissaient et utilisaient intuitivement la structure de rayonnement radioactif terrestre pour implanter leurs édifices sacrés. Hendrik Antoon LORENTZ Prix Nobel de physique en 1902), a permis quant à lui, de démontrer que tout vibre dans l’Univers, la matière dite « inerte » comme la matière vivante, et que tout ce qui vibre émet des ondes longitudinales « linéaires » et, ou, tourbillonnantes. Le professeur Georges LAKHOVSKY a lui aussi mis en évidence, les relations essentielles existantes entre les radiations cosmiques et les phénomènes vitaux. Celui-ci devait aboutir à la conception que la vie est engendrée par les radiations, entretenue par elles et détruite par déséquilibre oscillatoire. D’autres encore, comme CHAUMERY et BELIZAL qui étudièrent la physique micro-vibratoire, ont fait progresser la science, notamment en ce qui concerne ses applications dans le domaine des phénomènes nucléaires.

Tout vibre dans l’Univers, et tout est en concordance. Notre bien aimé et défunt Frère Pierre DAC résumait cela en disant « Tout est dans tout… et réciproquement ». Les mots que nous prononçons, les idées que nous développons, les opinions que nous formulons, les émotions mêmes que nous ressentons, tout est perceptible sur un plan énergétique.

Désormais, la science peut même reproduire ce qu’elle ne peut expliquer en matière de phénomènes extra sensoriaux : La propagation des ondes cérébrales par télépathie par exemple. On sait que le cerveau humain, animé par une énergie vitale, peut agir comme transmetteur vers un cerveau récepteur réglé sur sa fréquence. Les scientifiques se sont emparés du concept pour inventer la radio, le téléphone, le G.P.S. même, et toutes sortes d’ondes polluantes annihilant celles bien moins puissantes que nous possédons en nous.

« Le poids des mots » disait la publicité de Paris Match. Ces mots que nous prononçons détiennent une quantité phénoménale de pouvoirs. Ce ne sont pas qu’un assemblage de lettres, ce sont des vibrations qui tendent à créer des émotions toxiques ou bienfaisantes. On sait par exemple que l’hébreu et le sanskrit sont appelées « langues vibratoires », et que lorsque les indiens prononcent des mantras, leurs vibrations sont censées s’élever dans l’univers avant de redescendre sous forme de manifestations physiques. En ce sens, chaque être humain peut être un magicien. Par une simple réflexion il peut changer le cours d’une vie. Si par exemple, nous disons à un ami que la couleur de son visage est celle de personnes ayant le cancer, cette simple remarque, s’il la prend au sérieux, pourrait engendrer ce mal en lui, et le tuer en moins d’une année. La parole est féconde et sa puissance peut être redoutable, surtout lorsqu’elle est manipulatrice.

En Loge, la parole est un outil de perfectionnement. Les travaux que nous y présentons sont réputés élever notre esprit, mais aussi notre niveau vibratoire. C’est pourquoi le choix des mots contenus dans nos rituels est si important, et qu’il peut être dommageable d’en modifier le sens caché, car l’esprit du rite pourrait en être affecté.

Les phrases prononcées au cours de nos tenues, associées aux symboles représentés dans la Loge, qui par leur fonction, leur nature et leur couleur émettent des ondes de forme susceptibles d’entrer en résonnance avec chacun de nous, sont censées contribuer à l’universalité de ce puissant égrégore qui unit tous les francs-maçons possédant (ou non) le pouvoir de s’y accorder.

Chaque symbole présent dans notre Loge peut avoir une triple interprétation. Sur un plan exotérique, ce peut être un objet usuel, un vêtement, un outil ou un mobilier. Sur un plan ésotérique, l’objet peut être comparé à son utilisateur. On parle alors de symbolisme. Sur le plan énergétique, on l’identifie à une lumière, à des ondes sonores ou à des ondes de formes réfractées. Chacun peut y voir ce qu’il veut y trouver. C’est pourquoi nous ne pouvons qu’avoir des avis différents sur le vécu des symboles que nous utilisons.

Cependant, qu’il en soit conscient ou non, lorsqu’il fait ses invocations à la Gloire du Grand Architecte de l’Univers et au Progrès de l’Humanité, le Vénérable Maître appelle sur lui l’énergie d’en haut en élevant son épée Flamboyante, représentation jupitérienne de la manifestation divine. Face à lui, à la porte du temple, le Couvreur dirige alors son épée vers le sol, faisant ainsi circuler l’énergie du Zenith au Nadir de la Loge.  

Autre symbole fort de nos cérémonies, lorsque le Maître des Cérémonies et le Grand Expert forment la Voûte sacrée au pied de l’Orient. Cette figure géométrique n’est pas sans rappeler le cône de lumière issu de la direction du soleil venant éclairer la Terre, et plus symboliquement, les trois symboles de la Franc-maçonnerie placés sur l’Autel des Serments. C’est pourquoi dans certains rites dits spiritualistes, le pommeau de la canne du Maître des Cérémonies qui symbolise le soleil source de toutes vies, est au sommet du triangle ainsi formé, et que les deux pointes dirigées vers le sol, symbolisent sa manifestation sur les Colonnes du Nord et du septentrion (6). Symboliquement, son énergie réfractée verticalement à midi plein sur les trois grandes lumières que sont l’Equerre, le compas et la Règle est censée se réfléchir dans toutes les directions proposées par l’onde de forme des outils, c'est-à-dire vers les 8 plateaux des officiants de la Loge.

Cette action invocatoire du rituel n’est pas sans rappeler le schéma Pyramidal égyptien dont la forme protège en son centre la chambre de Haute Initiation que les profanes appellent la Chambre du Roi (5).

Bien entendu, les sceptiques ne sont pas obligés d’adhérer à ce que je suggère, car je ne détiens aucune vérité sinon la mienne, mais les mesures enregistrées par nos scientifiques concernant les intensités vibratoires à l’intérieur de la forme pyramidale, attestent notamment de son pouvoir momificateur..

Ces énergies qui circulent en nous et autour de nous sont aujourd’hui quantifiables. Pour en faciliter l’utilisation, notamment en géobiologie, nos savants utilisent des unités sans attributs, considérés comme des unités d’effet sur une échelle de 0 à 20 000 unités, basées sur les longueurs d’onde connues en physique (1 Aengströem = 10 millionièmes de millimètre) et de fréquence en Giga Hertz (1 Giga Hertz = 1 milliard de vibrations par seconde).

Ainsi, la vitalité d’un individu en bonne santé se situerait-elle aux environs de 6500 unités, mais ce ne serait qu’avec 7000 à 8000 unités qu’il possèderait sa pleine énergie vitale. En dessous de 6500 unités, le lieu serait affaibli et pourrait être nocif à toute matière vivante. C’est pourquoi, un individu soumis à une intensité inférieure à la sienne, tend toujours à équilibrer ses forces telle une pile neuve mise en série avec une pile usagée. Celui-ci perd alors de sa puissance au profit du plus faible. Lorsque sa vitalité tombe à 3000 unités, un homme est déjà très affaibli. Il peut alors développer toutes sortes de maladies. Mais à 1000 unités il a déjà un pied dans la tombe. Inversement, un individu soumis à l’influence d’une intensité vibratoire supérieure à la sienne, se chargerait en énergie vitale et améliorerait durablement son état de santé.

Il a été démontré scientifiquement que certaines maladies répertoriées en fonction de la vibration qui les caractérisent, correspondraient à une diminution plus ou moins forte de cette intensité. A titre d’exemple, la longueur d’onde mesurée sur des cancéreux, a toujours été située entre les valeurs limites de 4500 à 4900 unités. C’est pourquoi certains patients ont recours à des magnétiseurs afin de contribuer à leur régénération cellulaire (dans la mesure bien sûr, où l’état pathologique est encore réversible), plutôt que de se faire traiter par chimiothérapie qui, en détruisant les cellules atteintes, pourrait affaiblir d’autant leur vitalité énergétique.

D’autre part, on sait pour l’avoir expérimenté, qu’un individu moyennement intelligent, soumis à l’action d’un rituel dont la vocation est de le préparer à partager une réflexion ou le contraindre à une certaine analyse, va élever son taux vibratoire, proportionnellement à son degré de réceptivité, d’attention et de compréhension.

C’est pourquoi, lorsque les travaux prennent fin et que les maçons forment la Chaîne d’Union, ceux-ci partagent souvent d’une façon inconsciente, le fruit de leurs émotions, en équilibrant cette énergie qu’ils ont acquise avec celle de leurs Sœurs et de leurs Frères. Comme dans l’exemple précité, des piles neuves mises en séries avec des piles usagées, le niveau vibratoire des Sœurs et des frères les plus attentifs, ou réceptifs aux travaux du jour (par exemple ceux qui auraient apprécié cette planche), s’affaiblit au profit des moins favorisés (j’entends, ces autres qui auraient trouvé mon discours soporifique), donnant à chacun le sentiment de vivre sur une même longueur d’onde, voir d’éprouver le sentiment d’un amour fraternel partagé.

Ainsi, la Chaîne d’Union ne serait pas qu’un symbole magico-cosmique agissant sur le mental des participants. Elle donnerait un sens à nos travaux en renforçant notre Egrégore (4), tenue après tenue.

Quand il pense énergie, l’Initié voit la lumière qu’il va chercher dans sa Loge et qu’il nomme Connaissance, Spiritualité, parfois Dieu, Grand Architecte de l’Univers ou Fraternité Universelle. Cependant, il peut aussi être cette lumière que d’autres viennent chercher. Car celui qui veut imiter un savant, un philosophe, un saint ou plus simplement un Initié, reçoit quelques particules de ses vertus.

Plus il aura le désir de partager, d’éclairer, d’instruire et d’aider ses Frères, plus son Aura augmentera et s’élargira jusqu’à devenir rayonnante et lumineuse. Plus il dépensera certaines énergies pour le bien des autres, plus il se sentira rechargé d’énergies nouvelles.

Notre quête et notre but à nous Francs-maçons, est tout autant de chercher que d’offrir. Si comme l’écrivait Isaac Newton, « Les hommes élèvent trop de murs et ne construisent pas assez de ponts », nous essayons, quant à nous, de transmettre et de perpétuer cette lumière entrevue le jour de notre initiation. Physique ou spirituelle, la lumière est une énergie vitale, un élément essentiel à la vie. Symbolisée dans nos Loges, elle suggère la nécessité de donner un sens à chacun de nos actes.

La spiritualité que nous venons chercher n’est pas une échappatoire mais une élévation de l’esprit qui peut se faire dans la foi ou dans l’athéisme, c’est affaire personnelle, une pensée libre, ou une libre pensée. C’est une réflexion sur le pourquoi du monde, sur le pourquoi de quelque chose plutôt que rien, dans une communion de pensées qui cherche à élever l’homme vers la compréhension de ce monde. Et à ce titre, la Franc-maçonnerie peut participer à cette réflexion en apportant à l’homme certains outils que sont le symbole et le rituel.

J’ai dit

Source : http://www.ordoabchaos.net/pages/l-alchimie-des-energies.html