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Loge de Recherche Laurence Dermott

Rechercher dans la Fraternité et la Tolérance.

Camille Savoire et le Régime Ecossais Rectifié

Publié le 15 Avril 2013 par A\ B\ in Planches

Après Johanis Corneloup et Oswald Wirth, Alain Bernheim nous propose dans ce numéro de Renaissance Traditionnelle, de nous intéresser à Camille Savoire... Alors tout d'abord parlons brièvement d'Alain Bernheim, français résidant en Suisse, auteur maçonnique qui signa également sous le pseudonyme, y compris dans Renaissance Traditionnelle, d'Henri Amblaine, ceci lui permettant d'obtenir deux fois (ce qui n'est en principe pas autorisé) le prix Norman Spencer de la Loge Quatuor Coronati de Londres en 1986 et 1993.

Camille Savoire donc, nait le 6 juillet 1869, il est initié 23 ans plus tard, le 14 octobre 1892 dans une Loge de la Grande Loge Symbolique Ecossaise qui avait été créée elle, en 1880 et qui engendrera la Grande Loge de France. Cette loge il la quitte au bout d'un an, au profit du Grand Orient de France. En 1913 il intègre le Grand Collège des Rites dont il devient Grand Commandeur en 1923 et ce durant 12 ans. On le sait Camille Savoire marquera sa carrière maçonnique par le réveil du Rite Ecossais Rectifié en France, et la création du Grand Prieuré Des Gaules dont il fut le premier Grand Prieur, induisant de plus la création de la Grande Loge Nationale Indépendante et Régulière qui deviendra en 1948 la Grande Loge Nationale Française.

1. Le Rite Ecossais Rectifie et Le Grand Orient de France 1776/1841

Brièvement, il faut noter que dès 1773/74 le Rite Ecossais Rectifié en France est constitué de trois Directoires Ecossais, celui de Lyon, de Bordeaux et de Strasbourg et qu'un Traité fut établi en 1776 avec le Grand Orient de France. Dans ce traité, il y est dit globalement, article 6 que le Grand Orient de France et les Directoires Ecossais conserveront respectivement et exclusivement l'administration et la discipline chacun sur les Loges du Rite et du Régime. Le Grand Collège des Rites, qui s'était appelé de 1806 à 1814 Grand Directoire des Rites, vit en 1811, le 14 juin plus précisément, la création en son sein d'une section dédiée au Rite Ecossais Rectifié. En 1841 pourtant, le Rite Ecossais Rectifié s'éteignait en France...

2. Le Rite Rectifie et le Rite Ecossais Ancien et Accepté en Suisse

En 1844, 14 Loges suisses travaillant aux grades bleus, créent la Grande Loge Suisse Alpina. Pourtant en 1885 seule la Préfecture de Genève pratique encore le rite et devient donc la seule structure garante du RER et encore plus la gardienne des archives. Entretemps , notons la création d'un traité, le 2 février 1896, entre le Suprême Conseil de Suisse et le Directoire d'Helvétie, renouvelé en 1910, puis interrompu et conclu de nouveau en 1946, et encore en vigueur au moment de la rédaction de l'article en 1981.

3. Situation Maçonnique en France entre 1877 et 1910

En 1877 suite à son Convent, le Grand Orient de France vit ses relations internationales se détériorer. Depuis 1771 les relations avec l'Angleterre étaient interrompues entre les deux grandes obédiences qu'étaient devenue le Grand Orient et la Grande Loge Unie d'Angleterre. Mais les maçons à titre individuel étaient encore reçus dans les Loges. En 1877 la Grande Loge Unie d'Angleterre interdit l'accès à ses Loges, à tout maçon qui ne pratiquait pas une maçonnerie liée à la croyance en Dieu et ce jusqu'à la reconnaissance en 1913 de la Grande Loge Nationale Indépendante et Régulière.

4. Première étape de l'Action de Camille Savoire

Médecin spécialiste de la Tuberculose, Camille Savoire voyageait beaucoup en Europe pour des congrès médicaux et avait noué de nombreux contacts avec des maçons étrangers et il tissa des liens avec les différentes obédiences de ces pays. 33ème degré du REAA, Savoire va obtenir une équivalence du grade de Chevalier Bienfaisant de la Cité Sainte, prenant le nom de eques a Fortitudine, et fut armé en même temps que les Frères Edouard de Ribaucourt et Gustave Bastard. Ils obtiendront ensuite en 1910 la patente de fondation de la Commanderie de Paris, placée sous l'autorité de la Préfecture de Genève.

Mais revenons un petit peu plus tôt dans l'histoire, dans la foulée de leur armement, tous trois réveillent la Loge « Le Centre des Amis », Loge bleue rectifiée et en sommeil depuis 1838. Le Grand Orient informé répondit en réfutant cette création, priant de plus les frères à l'initiative de ce réveil, de se retirer ipso facto sous peine de radiation de l'obédience, Pourtant il semble que Camille Savoire eut au préalable, obtenu un accord, au moins verbal, du Grand Commandeur du collège des Rites, et sa surprise fut d'autant plus grande, qu'existait ce traité bilatéral dont nous avons parlé. En signe de bonne foi, ces trois frères s'exécutèrent, en échange de la création au sein du Grand Orient de cette Loge, mais Camille Savoire malgré tout se retirera de ce dernier projet, induisant de fait :

• D'une part la création de la Grande Loge Nationale Indépendante et régulière que rejoint « Le Centre des Amis », et
• D'autre part la signature d'un nouveau traité Franco-Suisse qui tint jusqu'en 1955.

5. Savoire Grand Commandeur du Collège et Grand Prieur du Grand Prieure des Gaules (1923-1935)

C'est en 1923 que Camille Savoire devient Grand Commandeur du Grand Collège des Rites, et en 1924 il fut invité par le Grand Prieuré d'Helvétie de même que le Frère Barrois alors à la tête de la Grande Loge Nationale Indépendante et Régulière, lui aussi CBCS. Barrois refusa comme le lui obligeait l'interdit anglais et le Grand Prieuré d'Helvétie rompit alors son entente avec son obédience. Savoire Grand commandeur des Hauts Grades du Grand Orient et Grand Prieur dès 1933 devenait ainsi l'interlocuteur privilégié des Suisses.

6. Savoire quitte le Grand Orient de France et se Démet de sa Charge de Grand Commandeur

Avant 1946, le Grand Collège des Rites n'est pas indépendant. Ainsi dès 1934, Arthur Groussier prépare un dossier d'indépendance de celui-ci par rapport au Conseil de l'Ordre. Savoire ira plus avant en prônant l'unification des Hauts Grades, tous rites confondus, ce qui aurait peut-être permis de rouvrir l'axe des relations maçonniques entre la France et l'Angleterre. Devant l'échec, Savoire crée donc le Grand Prieuré Des Gaules et propose au Grand Orient trois options :

• L'exercice du RER sous les auspices du GO mais sans possibilité d'action de ce dernier sur les rituels et les grades bleus.
• 2ème option : l'indépendance réciproque avec signature d'un accord.
• 3ème option : l'ignorance réciproque.

Les trois options étant refusées par le Grand Orient, Savoire quitte l'obédience, sa charge, et va fonder en 1936, le Grand Prieuré Des Gaules. De son côté le GO reprends contact avec la Suisse.

7. Après 1945

A partir de 1945, Savoire est malade, l'activité du GPDG après la guerre est très limitée et Savoire meurt en 1951, le Grand prieuré d'Helvétie confirme le Frère Rybinski en tant que Grand Maître National de la Grande Loge du RER et le Grand Prieur devient le Frère Moiroux. Cette Grande Loge Rectifiée intégrera en 1958 la GLNF, affaiblissant quelque peu le Grand Orient, mais d'un autre côté le GLNF perdra elle quelques Loges parties former la GLNF-Opéra sur laquelle se créera le Grand Prieuré de France. A partir de là, les frères accédant aux degrés supérieurs du Régime Ecossais Rectifié d'une obédience devront appartenir au seul prieuré de cette obédience. En 1967 se créera le Grand Prieuré Indépendant des Gaules, le Grand Prieuré de Neustrie et le Grand Prieuré d'Aquitaine en 1974.

8. Qu’est-ce que le rectifié

Alain Bernheim pour conclure se lance dans une description succincte du Rectifié en citant d'abord Camille Savoire : « J'avoue que le libre penseur que j'ai toujours été n'a manifesté en entrant au Régime Ecossais Rectifié aucune hésitation ni éprouvé aucun scrupule, lorsqu'on lui a demandé de déclarer qu'il professait l'esprit du christianisme surtout lorsque le Grand Prieur a ajouté : il s'agit ici de l'esprit du christianisme primitif réuni dans la maxime « Aime ton prochain comme toi-même ».

Puis Bernheim cite le Grand Prieur d'Helvétie : « Le rite est inspiré du désir de faire de ses membres par les moyens de l'enseignement symbolique propre à la Maçonnerie, de fidèles maçons, dans l'esprit du christianisme, mais d'un christianisme dans sa pureté originelle, dépouillé de toute occupation dogmatique et sectaire ».

Enfin rappelons qu'en 1979 peu de Frères pratiquaient le Rite Ecossais Rectifié, voire même revendiquaient cette notion impopulaire mais réelle de rite « élitaire », en affirmant même : « Nous sommes le nombre. Ayons la force ».

Joseph de Maistre et la Franc-Maçonnerie avant et après le Convent de Wilhelmsbad

 

EMILE DERMENGHEM, écrit en 1946, un ouvrage « Joseph De Maistre Mystique », traitant de l'attitude relativement réservé de Joseph de Maistre, et, de son positionnement lors des débats du Convent de Wilhelmsbad.

A partir de ce livre, Michel Masson écrit un article dans Renaissance Traditionnelle, espérant nous amener à mieux comprendre cette personnalité, mais aussi, nous éclairer sur l'émergence d'idées nouvelles et sur un sujet toujours d'actualité afin d'en retirer le meilleur bénéfice pour tous.

Pour mieux comprendre ce contexte, il est nécessaire de souligner que la personnalité de Joseph de Maistre ne laisse pas indifférent, car il dénote en regard de ses contemporains.

De plus, ses adversaires tentent par tous les moyens de le déstabiliser et de l'affabuler d'une réputation tenace d'un individu aimant les gens de pouvoir.

Cet homme essaya tout simplement de mettre en adéquation sa conception du monde et son mode de vie, mais, aussi de permettre à la tradition maçonnique de demeurer bien vivante malgré la période politique instable de cette époque permettant difficilement de laisser place à celle-ci.

De ce fait, historiquement à la date du 18 juin 1782, Joseph de Maistre adressa un épais document via le frère Savaron qui devait représenter une loge lors de ce convent, au Duc Brunswick-Lunebourg, sérénissime grand frère supérieur à Victoria, ce courrier ne fut sans doute jamais lu.

Au delà de l'expédition de ce manuscrit, le Frère a Floribus qui n' est autre que Joseph de Maistre, voulait faire connaître à ses pairs son positionnement et son analyse sur les thèmes délibérés, mais aussi, à travers ses réponses ce qui était pour lui la Franc-Maçonnerie.

Pour rappeler les thèmes de ce convent, les interrogations abordées portent autour d'un axe comptant 6 points et que l'on pourrait résumer ainsi :

De quel héritage la Franc maçonnerie était-elle issue et existait- il plusieurs niveaux ? De plus, avait elle un lien avec les templiers, leur secret, ce dernier n'avait il pas finalement peut être survécu sous une autre forme ?

Au demeurant, les participants s'interrogeaient aussi, de manière plus générale, sur la structure de la Franc-maçonnerie et sur son fonctionnement, afin de trouver un point d'équilibre harmonieux entre le cérémonial et la pratique du rite, ou enfin, quelle place tenait les sciences secrètes au sein de celle-ci ?

A ce questionnement, les réponses du Frère à Floribus témoignèrent particulièrement d'une grande richesse philosophique et religieuse.

Toutefois, il faut savoir qu'il rejette massivement toutes les pistes éventuelles d'une quelconque origine et relation historique entre l'Ordre des Templiers, et, la Maçonnerie. Par ailleurs, il souhaite que tous les signes ostentatoires se rapportant à cet ordre soient à bannir des rituels.

Pour lui, les templiers ne sont en aucun cas une congrégation philosophique, et, il s'attache à démontrer que la « Maçonnerie » ne peut être issue d'un ordre fanatique lié à l'histoire, ainsi, qu'aux atrocités que cela induit et que toute l'humanité toute entière ne suffirait pas à la justification du sang versé.

Il se permet de tourner en dérision cette conception en disant que ce processus était la création du pouvoir en place nécessaire pour asseoir son autorité sur la population, et, pour justifier de ses crimes.

Il préfère à la rigueur privilégier les corporations de constructeurs de cathédrales, puisque les édifices religieux sont liés en quelque sorte à l'humanité toute entière en raison du lien qui les relie à Dieu, et, de ce fait à la destinée de l'homme.

A la question concernant un supérieur, il affirme qu'au niveau de la hiérarchie du mouvement, « la présence d'un degré supérieur » n'existe pas et en réfute d'ailleurs l'idée.

D'autant plus que celui qui s'engage le fait en toute liberté et de ce fait devient la représentation de sa volonté.

En effet, il est fondamental pour lui, d'avoir le devoir de garder, et, de préserver les secrets éventuels.

De plus, il précise que même si l'homme du peuple fait partie du royaume par son action, par contre sa volonté est indissociable de son être car il reste libre de son engagement ou de son désir et par conséquent de l'autorité nationale.

D'autre part, au niveau d'une identification initiatique, il abandonne l'idée de rechercher des similitudes entre l'initiation maçonnique et celles Egyptienne ou Grecque qui ne sont pour lui qu'une aberration antique, et, qu'il est préférable de se recentrer sur le véritable évangile, voir de remonter au début de la création du monde initial, au delà de l'ère chrétienne.

Ainsi, à travers toutes ces argumentations, cette appartenance identitaire est indéniablement rattachée au dogme chrétien et au seul « Créateur ». Et pour préciser sa réflexion, il est nécessaire pour lui de remonter aux premiers jours de la création, alors qu il n'existait rien si ce n'est le Créateur permettant de retrouver par cette méthode le lien indéniable, et, de surcroît cette filiation éternelle qui existe entre toutes créations de l'Eternel, et, l'homme, mais qui continue de perdurer malgré l'écoulement du temps.

C'est pourquoi, Joseph de Maistre considère sans aucune ambiguïté que l'initiation maçonnique est par sa nature une essence assurément religieuse et chrétienne.

De ce fait pour lui, au niveau des 3 grades le cheminement consistera à l'acquisition de connaissance spirituelle, et, celles de certaines valeurs.

Ainsi, au niveau du premier grade, il s'agit d'un apprentissage gravitant autours des sciences humaines tels que la bienfaisance, l'éthique, l'ouverture d'esprit sur le monde, l'homme, la politique, l'environnement...

Autour du second s'articule pour reprendre l'expression de Joseph de Maistre « le grand œuvre de la Franc-Maçonnerie ». Il entend par là le devoir qui lie tous maçons envers ses frères, et même l'humanité tout entière par ses actions de bienfaisance, mais aussi de retrouver le chemin du vrai chrétien lui permettant de retrouver son état initial dégagé de toutes querelles politico-chrétiennes, qui au cours de l'histoire eut réussi à briser l'unité.

Enfin, pour le 3ème grade, c'est la continuité de cette voie maçonnique dont le devoir est de mettre l'accent sur cette recherche théologique avec pour les uns la Bible comme outil qui reste incontestablement la voie des seuls initiés et des mystères des saintes écritures.

Pour d'autres, une étude approfondie s'ordonnant à une connaissance accrue de la nature des choses, permettant une affirmation d'une certaine doctrine.

Enfin, que d'autres frères, et Joseph de Maistre espère qu'ils soient les plus nombreux, nous révèlent ce qu'ils savent de cet esprit suprême qui crée et émane toutes choses en tout lieux et en tout temps.

Emile Dermenghem analyse à travers les propositions de cet homme l'échec de celui-ci qui voulait croire que la maçonnerie puisse être en quelque sorte la voie du catholicisme lui permettant son évolution.

Cependant celle-ci prenait une toute autre direction vraisemblablement en raison de l'instabilité politique de l'époque et de sa propre histoire à la veille de son grand chamboulement, voire d'une orientation laïque déjà décidée.

Il est difficile de donner une réponse, mais Joseph de Maistre juge avec amertume ce convent en ces termes « toute assemblée d'hommes dont le saint esprit ne se mêle pas ne fait rien de bon ».

Ce dernier ne rejette pas pour autant ses pairs, ni ses convictions puisqu'il défend celles- ci lors des attaques antimaçonniques de l'abbé Barruel qui accuse d'hérésie toutes les sociétés secrètes ayant été sans doute les artisans de la révolution. Cependant, au fil du temps et des bouleversements historiques de cette période, il met peu à peu de la distance, et évite de s'impliquer autant dans son engagement concernant le courant de l'illuminisme et celui du scepticisme de l'époque.

Ainsi, le comte des soirées de Saint Petersbourg est toujours convaincu du mystère des Saintes Ecritures contenues dans la bible, mais préfère finalement rester fidèle à l'église romaine qu'il juge plus rassurante puisqu'existant depuis plus de 1800 ans, plutôt que de suivre Saint Martin et ses disciples sur le chemin moins conformiste du Martinésisme suivant fidèlement les préceptes de leurs maître.

A propos de ce mouvement, il tourne quelque peu en dérision la composition du Traité et les termes qui y sont énoncés. Cependant, il reconnaît que la base n'est pas sans intérêt ayant une certaine authenticité, mais qu'elle a été détournée par des propos faussés car cet écrit sert la cause d'hommes refusant toute reconnaissance hiérarchique de l'église romaine. Pour lui finalement le seul intérêt de « cette secte » est à la rigueur l'évangélisation des pays privés d'églises permettant de convertir leurs populations à la chrétienté et les soumettre à ce qui s'y rattache.

Ainsi, cet article met en évidence un homme à la fois théosophe voire, un martiniste sincère, et un catholique avisé. C'est pourquoi, il n'est pas logique de concevoir Joseph de Maistre sans prendre en compte toutes les composantes de sa personnalité puisque la vision de celui-ci serait faussée altérant de cette manière sa pensée.

Pour en terminer avec cette étude, en 1816 Joseph de Maistre lui-même se définit à travers ses propos comme un fidèle de l'église, mais reconnaît que sa fréquentation des martinistes lui a permis à travers l'étude du Traité et des rencontres effectuées de s'ouvrir sur d'autres horizons.

Cette révélation Emile Dermenghem la reprend dans son ouvrage démontrant qu'avec le temps cet homme a arrêté de s'interroger et de rechercher sur ce qu'il a pu l'éclairer à un moment de son parcours hors des sentiers traditionnels, mais qu'il en demeure pas moins reconnaissant à ceux qui l'avaient mis sur la voie de cette réflexion voir de cette ouverture.

Source : www.ledifice.net